Je remercie Christine Pires Beaune d'avoir bien voulu ouvrir ce débat. Si le sujet des médicaments est sur la table depuis une quinzaine d'années, la situation s'aggrave. En 2012, le Gouvernement, que j'avais interrogé, évoquait 500 ruptures. En 2016, on était à 900. Puis on est passé à 1 500, et désormais à 3 500.
Le constat est le même sur tous les bancs, même s'il y a toujours des débordements.