Le changement de méthode que vous évoquez consiste à comptabiliser les montants mis en recouvrement et encaissés plutôt que d'enregistrer, comme c'était le cas auparavant, les montants notifiés, qui sont supérieurs – de façon un peu artificielle – aux montants mis en recouvrement. Or si l'on ne considère que les montants mis en recouvrement, nous avons bel et bien atteint un record.
Pour ce qui concerne les effectifs, leur réduction depuis 2017 s'explique par l'introduction du prélèvement à la source et par le développement du data mining – en bon français, l'analyse de données – qui ont permis de redéployer une partie des personnels vers des missions de contrôle.