Je vous remercie pour vos témoignages sur la pénibilité et pour vos appels à une nécessaire réintégration des facteurs de pénibilité supprimés, notamment dans le secteur du care et plus particulièrement pour les aides à domicile, dont les rémunérations sont beaucoup trop basses. Vous avez mille fois raison, madame Lauseig : avant de parler de retraite, il faut s'attaquer aux conditions de travail.
Vous avez insisté sur la mise en place d'une retraite progressive. Pourriez-vous nous en dire plus sur ce que vous attendriez d'une réforme intelligente des retraites ?