…depuis des années et des années. Vous savez, la première fois que j'ai eu l'honneur de siéger dans cette assemblée remonte à plus de quinze ans, et Charles de Courson était déjà député, donc il m'est arrivé à de multiples reprises de rendre hommage à ses qualités éminentes.
Madame Pires Beaune, je tiens à vous remercier pour vos propos sur le précédent amendement. Je confirme ce que je vous ai dit : je suis prêt à étudier une proposition de plafonnement – je ne balaye pas l'idée d'un revers de la main, d'autant que nous avons sans doute tous ici été confrontés au caractère douloureux de la situation que vivent les veuves et les veufs. Je n'ai pas mis l'argument financier en avant, j'ai juste défendu l'équilibre que nous avions réussi à trouver grâce à Charles de Courson.
Je vous propose de nous en tenir ce soir à cet équilibre, quitte à étudier des propositions de plafonnement, comme nous y invitent les membres du groupe Socialistes.