Je vous demande de vous abstenir, et prenons rendez-vous à l'automne lorsque nous examinerons le PLF pour 2023 : étudions le plafonnement puis la suppression dans cet ordre, car vous savez très bien que si la mesure était votée en l'état, il n'y aura jamais de plafonnement.
Mesdames et messieurs les députés du groupe Les Républicains, j'étais ministre pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, lequel, par souci de justice fiscale, avait engagé la suppression de la demi-part des veuves. Comment pouvez-vous revenir quatorze ans plus tard sur une décision qui avait été débattue pendant des semaines et des semaines avant qu'un accord ne soit trouvé ?