Mon avis est favorable, car cet amendement lève une ambiguïté du régime fiscal du covoiturage. Il s'agit bien ici d'une déduction du montant imposable, et non d'un crédit d'impôt. Évidemment, on pourrait aussi imaginer des crédits d'impôt sur les factures de téléphone, les déplacements, les trajets en avion ou que sais-je – et en définitive, c'est l'État qui paierait entièrement la vie des Français ! Telle n'est pas exactement notre conception de la dépense publique.