La CRDS a un atout majeur : elle est très simple, a une assiette très large, un taux unique de 0,5 % et sert à alimenter les ressources de la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades). Chaque année, environ 4 milliards d'euros sont ainsi prélevés sur les revenus du capital. En raison de sa simplicité, je ne crois pas qu'il faille modifier la CRDS. J'émets donc un avis défavorable.