Je suis gêné de m'exprimer alors que M. Maillard n'est pas encore revenu dans l'hémicycle, car je souhaite lui répondre puisqu'il nous a directement interpellés.
Ses conseils de mauvais ami, nous n'en voulons pas. Nous ne sommes pas dupes de la majorité qui, depuis deux jours, multiplie les occasions d'embourber, de ralentir, d'obstruer le débat. Nous avons bien compris, chers collègues, que vous avez une peur féroce d'aborder l'examen de l'article 7. Nous vous y attendons, quand vous voulez !