Et voilà que des questions liées à la médecine du travail surgissent dans le débat. Permettez donc que nous exprimions notre étonnement !
Je souhaiterais ensuite m'adresser à M. le ministre délégué chargé des comptes publics. Vous avez évoqué tout à l'heure deux possibilités pour traiter la question des retraites : soit l'augmentation des impôts, soit l'allongement du temps de travail – donc la réforme injuste que vous défendez.
Je suis désolé, monsieur le ministre délégué, mais je vais de nouveau évoquer une troisième voie, puisque vous ne répondez pas à notre interrogation : quid des économies dont nous disposons ? Je rappelle que pendant des années, certains budgets ont servi de variable d'ajustement – je pense, entre autres, à celui des armées –, et j'avais évoqué tout à l'heure le fait que le fonds de réserve pour les retraites (FRR) a servi à autre chose qu'à financer nos retraites. Quid de ces économies ? Vous ne nous répondez pas. Je crois que, maintenant, une réponse s'impose.