La première est celle de l'EPR – équilibre permanent des régimes : son énoncé lui-même renvoie au fait que, par définition, on équilibre systématiquement le système de retraites d'État et les régimes spéciaux ; alors on constate que le déséquilibre est faible. Eh oui : si on équilibre perpétuellement le système, il est certain qu'à la fin il n'y a pas beaucoup de déséquilibres ! C'est d'ailleurs ce qui est écrit.