À cet égard, monsieur le ministre, les propos que vous avez tenus tout à l'heure m'inquiètent. Dire, comme vous l'avez fait tout à l'heure, que les Français préfèrent avoir de l'argent dans leur poche plutôt que dans celle de l'État, s'inscrit dans l'affaissement des services publics auquel on assiste actuellement, et ce n'est pas acceptable. L'impôt sur le revenu est le plus juste, celui qu'il faut défendre, coûte que coûte.