Le président Chassaigne a évoqué hier soir les lois qui portent son nom, en mentionnant les trous dans la raquette qu'il a pu constater à la suite des décrets d'application. Je partage son point de vue, puisque j'ai observé moi-même ces lacunes en étudiant des dossiers individuels qui m'ont été présentés dans ma circonscription.
J'aurais aimé que l'on parle des retraites agricoles, pour donner envie à ceux qui pourraient nous nourrir demain d'exercer ce métier que j'ai moi-même choisi il y a plusieurs années. Je suis désolé de constater que nous n'arriverons pas à l'article 10, ce qui aurait permis à la représentation nationale de débattre de ce sujet et de rendre ainsi un hommage bien mérité à ce monde qui nous fait vivre.