Enfin, j'aimerais revenir sur un des arguments avancés par M. Guedj. Une fois que vous avez reconnu qu'il existait bien un problème de financement de notre système de retraite, vous avez proposé d'organiser un grand débat, une conférence de consensus afin de discuter des solutions possibles – des créations d'impôts, notamment – face à un tel enjeu. Je me permets de vous signaler que le travail que vous évoquez est celui du Parlement, de l'Assemblée. Le débat que vous appelez de vos vœux doit précisément avoir lieu ici. C'est ce que nous souhaitons. Or, avec vos séries d'amendements identiques, c'est vous qui ralentissez et empêchez ce débat nécessaire pour les Français et pour notre modèle social.