Il se fonde également sur l'article 100, relatif à la bonne tenue de nos débats. Monsieur Di Filippo, la réunion que vous avez évoquée n'a pas eu lieu. Je vous invite donc à lire la presse de façon plus complète. J'ajoute qu'en ce qui nous concerne, nous assumons le fait de discuter avec les organisations syndicales ; nous en sommes fiers !