De façon systématique, la situation des TIS est évoquée. S'agissant des radicalisés, ce sont davantage les éléments nouveaux, communiqués par l'administration pénitentiaire, qui sont évoqués, sachant qu'il y a des échanges avec les services de renseignement extérieurs à l'administration pénitentaire. Dans le GED de l'Orne, il était fréquemment question des visiteurs, puisque la concentration de terroristes dans un établissement pénitentiaire amène aussi la venue de familles, dont certains membres peuvent faire l'objet d'un suivi par les services de renseignement classiques.