Parce que les gendarmes ont parlé, mais cela aurait pu ne pas être révélé. Et alors il y aurait eu mort d'homme, par l'action d'un préfet de la République. La société corse – et pas seulement les autonomistes ou les nationalistes – se rappelle cela, comme elle se souvient d'autres faits datant d'il y a vingt ou quarante ans. On ne peut ignorer que des faits avérés qui n'auraient jamais dû se produire se sont produits. Dans ce contexte, on doit être le plus rationnel possible, soit, mais des actes anormaux ont eu lieu sur ce territoire, dans l'histoire et dans la période contemporaine.