Ce serait pourtant simple : la hausse des salaires entraînerait mathématiquement celle du produit des cotisations. Vous refusez décidément d'en entendre parler : très bien ! Nous prenons note et vous proposons une autre voie, celle du rétablissement de l'ISF, qui répondrait au profond sentiment de révolte que nourrissent aujourd'hui de nombreux manifestants, scandalisés qu'une très petite minorité ait tout et la majorité rien.