Je perçois beaucoup d'impatience dans les propos de nos collègues socialistes, notamment Boris Vallaud, qui souhaitent que nous discutions des pensions minimales. Mais accélérons et nous pourrons aborder plus rapidement l'article 10 ! Je ne comprends pas très bien votre impatience puisque, quand nous aborderons l'article 10, vous voudrez parler de l'article 2.
J'ai beaucoup de regrets, car la situation des seniors est un gâchis humain considérable. Du reste, le groupe Démocrates a déposé des amendements, non pas uniquement pour réparer, mais aussi pour prévenir. Si vous nous permettez d'avancer, nous pourrons examiner ces amendements, qui prévoient notamment un rendez-vous sur l'évolution professionnelle dès l'âge de 45 ans et un autre à 60 ans. Avançons donc, sereinement, dans le respect mutuel – nous en avons besoin –, et nous reprendrons le débat à l'article 10.