je ne sais pas ce que vous allez faire ; c'est à votre conscience et à votre cœur de parler, comme c'est le cas lorsque vous vous exprimez contre la réforme. Mais je le dis : dans l'intérêt de celles et de ceux que vous défendez et dans l'intérêt des idées qui sont les vôtres, cessons d'employer ces termes ; redonnons de l'honneur, de la clarté et de la hauteur à nos débats.