Vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas avoir pu ou su gérer le débat, au vu de la pléthore d'amendements que vous aviez déposés. Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Assumez aussi votre part de responsabilité : il vous revenait de gérer votre temps. Dès lundi, des collègues vous ont proposé de retirer certains de vos amendements afin d'avancer dans le débat ; vous ne l'avez pas fait. N'allez pas invoquer maintenant les conditions de travail ou la taille de la salle... Un peu de sérieux !