Je sais que vous êtes sensible à la qualité du travail de notre assemblée. Puisque vous parliez tout à l'heure de pénibilité, je pense aux administrateurs qui devront maintenant traiter les nombreux amendements qui seront déposés en vue de la séance. Je les remercie pour leur travail, auquel nous ne pouvons être indifférents. Il y a un horaire à respecter. Quoi qu'il en soit, nous ne serions pas allés beaucoup plus loin, puisque l'une de vos collègues a admis hier que vous faisiez de l'obstruction et que vous continueriez à le faire. Ce n'est donc pas parce que les travaux de la commission s'arrêteront ce soir, un peu avant vingt heures, que vous avez été empêchés de travailler et de débattre.