Il est dix-sept heures cinquante-neuf, l'heure où arrive ce à quoi nous nous attendions : nous savions bien que vous finiriez par nous reprocher le manque de temps pour étudier la multitude des amendements que vous avez déposés. Mais vous ne pouvez pas à la fois revendiquer une stratégie d'obstruction, comme vous l'avez fait hier, et nous reprocher de manquer de temps ! Il faut choisir !
Il n'est pas dans nos habitudes, dans cette commission, de juger de la qualité du travail parlementaire des uns ou des autres. Des sujets importants ont été introduits dans un débat qui a été assez riche, peut-être parfois un peu vif, mais qui a eu le mérite d'exister. Comme l'a dit la présidente, chacun a pu s'exprimer, avec un orateur par groupe.
J'apprécie la volonté de M. Guedj d'engager le débat sur le partage de la richesse mais il importerait également de traiter de la valeur et de la place du travail dans notre société. Nous aurons sans doute l'occasion d'en parler en séance publique.