En l'occurrence, c'est Bill Gates qui le fait. Cela devrait vous plaire car il est milliardaire.
Dans une interview publiée dans un magazine américain, il propose de taxer les robots au même niveau que les salariés afin de financer l'adaptation de la société à la transformation du travail. Cela compenserait les pertes de recettes fiscales dues aux destructions d'emplois, d'une part, et aiderait à financer les politiques sociales de réinsertion professionnelle d'autre part.
Je veux bien que vous fassiez tout pour éviter un débat sérieux sur la manière de financer les retraites autrement qu'en privant les Français – et notamment les plus modestes – de deux années de retraite en bonne santé. Mais essayez au moins d'avoir des arguments un peu rationnels et intelligents.