Vous éprouvez des sentiments profonds pour les milliardaires, les millionnaires, les héritiers et les rentiers. Alors j'ai bien cherché et je vous propose de faire cotiser les robots, qui, eux, ne font pas partie de votre électorat.
Le principe de cet amendement est très simple : il crée une contribution sur la richesse produite par les caisses automatiques, qui remplacent des salariés – et donc des cotisants – dans les magasins alimentaires afin d'augmenter leur rentabilité.
L'amendement n'empêche pas d'investir, mais il permet de partager.
Les robots ne vous en voudront pas d'être taxés pour protéger l'ensemble des humains, qui veulent passer deux années dans la sérénité et le repos plutôt que de travailler jusqu'à ce que l'inaptitude ou la mort s'ensuive.