Monsieur Guedj, dans le mot superdividende, il y a « super ». Notre position à cet égard est très claire et nous l'avons défendue. Je crois du reste avoir lu dans la presse que cette idée cheminait, et je ne doute pas qu'elle aboutira.
En revanche, nous sommes tout à fait opposés à votre intention de taxer l'ensemble des dividendes, pour des raisons qui ont été exposées et que chacun peut comprendre. Notre logique diverge, en cela, avec la vôtre et celle de la NUPES.
Monsieur Ménagé, puisque vous ne parlez que de l'article 7, revenez donc lorsque nous l'examinerons. Un peu de patience : nous y arriverons. Et si ce n'est pas aujourd'hui, ce sera la semaine prochaine, en séance publique.