L'amendement d'Astrid Panosyan-Bouvet rejoint un des nôtres qui a été rejeté. J'espère qu'il connaîtra un meilleur sort. Il s'agit d'élargir le nombre de ceux qui pourraient être concernés par les discussions entre les parties prenantes, dont les organisations syndicales, pour faire en sorte qu'un regard particulier soit porté sur cet enjeu, y compris dans les entreprises de moins de trois cents salariés. Nous espérons que l'adoption de cet amendement ne déplaira pas trop à notre collègue Marc Ferracci, contrairement à celui que je portais dernièrement.