Avant de passer la parole à mes collègues, je souhaite souligner que nous avons déjà entendu le discours visant à valoriser le profil de Mme Puglierini et nous comprenons qu'il existe une solidarité de corps défensive. Mais ce discours ne répond pas à l'incompréhension et au manque d'explication, selon les termes de l'IGJ, quant à l'absence de transmission par Mme Puglierini des comptes rendus des CPU dangerosité unanimes concernant un détenu TIS dangereux, quel que soit le degré d'usure de celle-ci après six ans et demi passés à la tête de la maison centrale. De même, vous dites ne pas avoir reçu d'alerte, mais les quatre incidents, qui nous ont d'ailleurs été cachés le 30 mars 2022 en commission des lois, ont dû être intégrés au logiciel Genesis, sauf défaillance ; un cinquième, que nous avons découvert, également. À ce stade, nous ne pouvons donc pas comprendre comment votre échelon hiérarchique n'a pas pu être averti de ces cinq incidents.