À titre personnel, non. La cheffe du bureau opérationnel du service s'y rendait, qui avait une connaissance fine de tous les objectifs suivis. Cela ne relevait pas des sous-directions mais des chefs de bureaux de la sécurité pénitentiaire et du chef du bureau des affaires opérationnelles. En revanche, s'il y avait un problème d'arbitrage, cela pouvait être repris à des niveaux supérieurs. S'il y avait des dissonances marquées dans les avis et que la commission n'arrivait pas à s'entendre, des éléments pouvaient remonter.