Je ne peux qu'être d'accord avec vous en ce qui concerne l'enjeu environnemental et climatique, en particulier la surpêche dans cette partie du monde.
La France a effectivement émis une réserve concernant l'échange d'informations : elle ne s'engage pas à transmettre des éléments classifiés. Nous sommes au début d'un processus. Avant d'aller plus loin, il faudra un temps de travail en commun et la confiance devra se développer.
S'agissant du second point, un bateau pourra embarquer des officiers d'un autre État mais il faudra des conventions particulières pour mettre en œuvre cet aspect. Cela viendra aussi dans un second temps.