L'histoire nous le dira, mais je ne le pense pas. Ce qui est certain, c'est qu'il faut moderniser la convention existante, afin qu'elle réponde aux enjeux de notre siècle. Le sentiment antifrançais, qui – comme le président vient de le rappeler – est largement instrumentalisé, ne se fondera pas uniquement sur cette modernisation. Les accords que nous examinons sont très importants pour les mois et les années à venir.