Nous devons utiliser cet article pour en parler et faire des propositions. Nous avons déposé de nombreux amendements qui ont été déclarés irrecevables, le texte n'étant pas le bon véhicule législatif. Ils visaient les temps partiels – il faut conserver un niveau de cotisation important –, la transmission des savoirs, pour que travailler ait un sens et rende heureux jusqu'à la fin de sa carrière professionnelle, et, bien évidemment, la formation professionnelle.
Le Gouvernement doit s'engager vigoureusement pour accompagner nos concitoyens qui ont eu un travail difficile afin qu'ils bénéficient à partir de 50 ans d'une formation et d'une deuxième carrière, compatible avec leurs capacités. Les seniors attendent des réponses. Nous devons nous montrer à la hauteur du sens que revêt leur travail.