« Quand aujourd'hui on est peu qualifié, quand on vit dans une région qui est en difficulté industrielle, quand on est soi-même en difficulté, qu'on a une carrière fracturée, bon courage déjà pour arriver à 62 ans. […] On va dire : 'non, il faut maintenant aller à 64 ans'. Vous ne savez déjà plus comment faire après 55 ans, les gens… » – les entreprises – « vous disent : 'les emplois, c'est plus bon pour vous'. […] Ce serait hypocrite. J'invite les gens qui, de manière simpliste, […] disent 'c'est ça la solution', d'abord à regarder la société. »