Le vote de l'article 1er induit la suppression de certains régimes spéciaux plus ou moins justifiés. Pour rappel, la précédente réforme des retraites avait augmenté les cotisations des membres du Cese et diminué leur pension. Je peux entendre que la suppression du régime spécial de certains métiers demande du temps et implique de prévoir une « clause du grand-père » – en conséquence de laquelle ils ne s'éteindront que dans quarante-trois ans. En revanche, le fait de siéger au Cese constitue davantage une fonction qu'un métier ou une carrière à proprement parler. Je comprends donc difficilement qu'il faille attendre quarante-trois ans pour voir s'éteindre le régime spécial dont bénéficie cette institution.