Nous avons bien entendu les explications du ministre ; ces précisions techniques nous amènent à plaider pour le retrait de ces amendements.
M. Guedj nous a expliqué que la NUPES était disposée à faire avancer le débat. Je tiens tout de même à rappeler que cela fait trois jours que nous vivons au rythme des oukases de la NUPES et de ses différentes expressions – depuis le député poète, qui évoquait les « petits chapardeurs de jours heureux », aux députés révolutionnaires, qui rejouent le Grand Soir à chaque alinéa, en passant par les orateurs qui usent d'une dialectique haineuse ou violente – « tués » ; « écrasés » ; « couloir de la mort ».