Le texte qui nous est proposé aujourd'hui arrive dans ce contexte d'effondrement majeur, et comme l'a expliqué la rapporteure, Mme Santiago, il n'a pas vocation à régler tous les problèmes. Je tiens à la remercier d'avoir mis à l'ordre du jour de la journée de niche parlementaire du groupe Socialistes et apparentés ce sujet si peu traité, voire invisibilisé dans la vie politique. Pourtant, je le rappelle, un enfant meurt tous les cinq jours sous les coups de ses parents.