En décembre 2022, 65 % des Français estimaient d'ailleurs que la maltraitance des enfants était insuffisamment prise en compte par les pouvoirs publics. Ce sujet n'est donc pas qu'une question d'empathie ou de morale. Il relève de notre capacité collective à faire des choix de société et des choix politiques et à les inscrire dans le droit, afin que la protection des enfants victimes de violences soit vraiment effective. Ce que nous devons avoir à l'esprit, ce qui doit nous animer et nous guider dans toutes nos décisions, c'est évidemment l'intérêt supérieur de l'enfant.