Je suis cependant très satisfait de l'adoption de la proposition de loi, qui me semble constituer à la fois une garantie contre le démembrement d'EDF et un gage de souveraineté pour le Parlement, qui doit pouvoir se prononcer sur le devenir de cette entreprise énergétique.
Sur l'article 3 bis, j'ai entendu certains propos, y compris concernant des pressions qui auraient été exercées. Je veux dire très calmement que, selon moi, le rôle du président de la commission des finances est de faire en sorte, pour tous les groupes – j'insiste sur ce point –, chaque fois que c'est possible et que nous pouvons échanger des arguments juridiques, que les textes débattus arrivent en séance publique afin que ces questions soient tranchées politiquement.