Chers collègues, c'est inconcevable ! Il est certes arrivé à l'État d'être mauvais gestionnaire, mais comment pourrait-il, après avoir mené un rachat d'actions de près de 10 milliards d'euros, penser sérieusement à démanteler l'entreprise qu'il vient de payer à un prix surévalué par rapport à son dernier cours de bourse ?