Cet après-midi, M. Paul Christophe a parlé de passion au travail et d'émancipation par le travail. Bien sûr, cela existe et c'est heureux, mais vous avez un côté « ravis de la crèche », plus exactement vous êtes béats devant le libre marché, dans lequel les premiers de corvée doivent accepter toutes les servitudes, tandis que vous ne cessez de casser, de casser précisément ce qui permet de supporter des métiers pénibles.
Nous parlons du régime spécial des électriciens et des gaziers. Il a une raison d'être : certains salariés passent des heures à genoux devant des coffrets électriques ou réalisent des interventions en haut de pylônes à toute heure du jour et de la nuit.