Je rappelle qu'initialement, ce virus aimait le froid et l'humidité, puisqu'il en existait des foyers dans les abattoirs, et qu'il semble désormais aimer le chaud et le sec. Il est donc très variant et ce n'est pas parce que nous nous réunirions tous les mois que nous en saurions plus.
Quant à la clause de revoyure, chère à M. Philippe Gosselin, nous disposons déjà de tous les moyens de nous informer régulièrement. Nous pouvons en effet procéder à des auditions et nous n'en avons pas été privés durant la législature précédente. Nous avons également obtenu, avec le dernier texte, de pouvoir tenir un débat sans vote. Donnons-nous cependant de l'air et de l'espace, afin que les scientifiques puissent prendre des décisions.