Pour y parvenir, nous devons jouer sur d'autres éléments de la carrière, à la RATP comme dans l'ensemble des réseaux urbains, plutôt que sur le seul régime.
Par ailleurs, nombreux sont ceux – comme Mme Rousseau à l'instant – qui proposent comme solution au problème du régime spécial de la RATP, non pas de le supprimer, mais d'en étendre l'accès à l'ensemble des agents des autorités organisatrices de la mobilité. Quand on sait que le régime actuel de la RATP coûte chaque année 700 millions d'euros au contribuable,…