Pourquoi nous attachons-nous tant à défendre les régimes spéciaux ? Parce que nous considérons que leur suppression est, d'une certaine manière, le parachèvement de l'entreprise de dévitalisation, de casse, de l'ensemble des services publics que vous menez depuis vingt ans.
Vous avez libéralisé le secteur de l'énergie. La crise que nous traversons démontre-t-elle que vous avez eu raison de le faire ?