Nous avons, aux côtés de Marine Le Pen, une vision pragmatique et très claire : s'il y a des problèmes de recrutement et de fidélisation dans certains métiers, il faut y remédier. Je pense notamment aux industries électriques et gazières. Nous sommes ici tous favorables, à l'exclusion d'une partie de la NUPES, à la relance du nucléaire dans notre pays. L'État s'y emploie aujourd'hui et c'est une bonne chose, mais comment y parvenir sans soudeurs ? Aujourd'hui, nous devons faire appel à des soudeurs nord-américains dans nos centrales nucléaires. Nous ne pouvons pas nous contenter d'avoir des ouvriers provenant de l'étranger dans les secteurs stratégiques.