D'autres régimes spéciaux coûtent 700 millions d'euros par an : je pense à celui de la RATP, qui permet aux conducteurs de bus et de métro de partir à la retraite en moyenne six ans avant ceux qui occupent le même emploi à Marseille, à Bordeaux ou à Lyon, là où il n'y a pas de régime spécial. Il n'y a là qu'une réforme d'équité qui respecte le contrat social suivant : faire en sorte que ceux qui relèvent d'un régime particulier d'assurance vieillesse puissent continuer à en bénéficier – et nous y veillerons !