La pénibilité des chauffeurs de bus intra-urbains est bel et bien réelle, puisqu'ils sont susceptibles de développer des troubles musculo-squelettiques – ce métier fait mal au dos, notamment au rachis – résultant d'une combinaison de facteurs de risque biomécaniques, à cause des vibrations, et aigus, en raison du port de charges. Oh ! Ne sont-ce pas là deux des quatre risques que vous avez supprimés du compte professionnel de la prévention (C2P) ? Mais alors ils n'auront rien, ces pauvres chauffeurs de bus de Poitiers !