Nous devons, pour redonner du souffle à la filière nucléaire, rendre ces métiers attractifs. C'est pourtant le moment que vous avez choisi pour flinguer le statut des électriciens-gaziers.
Je confirme ce que j'ai déclaré en commission : si vous ajoutez deux ans ferme aux salariés de la France entière, si vous vous en prenez de la sorte aux régimes spéciaux, n'allez pas pleurer si, par hasard, dans vos permanences, le jus est coupé durant deux ou trois heures par semaine !