Il faut dire que, le 24 juin 2022, vous déclariez : « C'est un fait que la police tue. » Le 31 mars 2019, vous tweetiez déjà : « Comment ne pas voir que les contrôles abusifs de la police tuent ? » Le 8 septembre dernier, vous ajoutiez : « Sur fond de refus d'obtempérer, des policiers abusent de leurs armes et tuent sans conséquences. » Bref, on peut dire qu'avec vous les policiers ne bénéficient pas beaucoup de la présomption d'innocence.