Monsieur le ministre Attal, vous avez dit que c'était soit la réforme, soit la faillite. Si nous imposions au capital le même taux de cotisation qu'au travail, ce seraient 40 milliards que nous ferions rentrer dans les caisses. Si nous taxions à 2 % quarante-deux milliardaires, nous réglerions le problème.
En réalité, cette réforme est une faillite sociale, une faillite politique et une faillite démocratique.