Vous leur parlez de déséquilibre, de statistiques, d'annuités, de chiffres, de mots savants, mais les gens ont compris et retenu l'essentiel : ils vont devoir travailler deux ans de plus, pour des salaires qui stagnent et avec le dos qui craque. Écoutez-les : votre réforme, ils n'en veulent pas.