Plus de semaines à courir, de week-ends à essayer de se reposer ; plus d'impressions de courir après le temps, plus de dimanche soir à se dire : « Mon Dieu, il est passé bien vite ce week-end ! », plus de mal au ventre le lundi matin, plus de nécessité de masser ses muscles et ses articulations, tellement ils font mal. Plus de semaines qui n'en finissent pas.
Ce n'est pas que le boulot ne plaise pas ; c'est juste qu'on a fait son temps, qu'on a donné à la société ce qu'on devait lui donner.